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LE DERNIER REMPART
La disparition des chrétiens d'orient

Avec la participation exceptionelle de Jean François Colossimo

EN COURS DE RÉALISATION
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L’appellation chrétiens d’Orient est née en France à la fin du XIXe siècle, après les massacres de Damas en 1860, plus de 10 000 morts, le génocide mené par les ottomanes (1914 et 1920) des Assyro-Chaldéens qui a fait 250 000 victimes et des Arméniens, entre 800 000 et 1,2 millions de victimes.

En 1900, le Proche-Orient rassemblait 30 % des chrétiens du monde, ils sont moins de 5 % en 2020. Au cours du XXe siècle et jusqu’à maintenant, les bourreaux changeront de noms ou d’uniformes mais jamais de victimes.

A travers les portraits des personnages emblématiques et des tournages dans chacun de ces pays, ce film veut tracer l’état des lieux et attirer l’attention de l’opinion publique sur la disparition des communautés qui ont résisté pendant 2000 ans.

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NOS TÉMOINS

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EN IRAK

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Monseigneur Najeeb, évêque chaldéen d’Aqra, de Mossoul et de Keramlesh.

En 2014, lors de la prise de Mossoul par Daesh, il a notamment emporté avec lui plus de 800 manuscrits anciens qu’il a numérisé pour les sauver. Aujourd’hui, il œuvre au retour des chrétiens dans la plaine de Ninive.

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Monseigneur Nicodemus Daoud Sharaf : évêque syriaque orthodoxe de Mossoul, du Kurdistan et de Kirkouk. Il fut le dernier évêque a quitté Mossoul suite à la prise de Daesh en 2014.

Madame Sabeeha : maire du village chrétien de Manguesh

Lara Yussif Zara : maire du village chrétien de Alqosh.

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EN EGYPTE

 

Docteur Adel Ghali : il a travaillé auprès de Soeur Emmanuelle dans les bidonvilles du Caire. Il vient de sortir le livre « L’Appel du Royaume ».

Femme d’un martyr copte : lors de l'attentat contre l'Eglise St Pierre et St Paul, à côté de la cathédrale copte. Le gardien est mort en martyr car il s'est jeté sur le terroriste ce qui a pu limiter le nombre de morts. Sa femme s'occupe aujourd'hui de garder l'église.

Père Filopos : prêtre de l’Eglise Syriaque Orthodoxe du Caire

Mgr Krikor Coussa : francophone, évêque des Arméniens catholiques d’Alexandrie et de toute l’Afrique. Syrien d’Alep.

Père Farid à Alexandrie, maronite.

Père Tarek au Caire, maronite.

Père Rafik au Caire, melkite.

Un prêtre copte catholique : à Heliopolis qui est francophone. Petite minorité (1%) de l’église endémique d’Egypte qui s’est rattaché à Rome, très tardivement par rapport aux autres Eglises d’Orient.

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EN ARMÉNIE

 

Père Hovhannès : actuel curé de la paroisse de Mardakert et de Gandzassar. Il s’est incroyablement démarqué lors de la guerre au Haut-Karabagh qui a fait rage l’année dernière entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan en combattant avec courage et en défendant le monastère de Dadivank, un lieu symboliquement arménien.

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Mgr Mardirosyan : de 1989 à 2021, il a été primat du diocèse d’Artsakh. Il était présent lors des deux guerres au Haut-Karabagh (celle de 1994, et celle de l’année dernière). Actuellement, il a pris la retraite de son poste. Il est envoyé pontifical pour le Catholicos Karekin II.

 

Sourik : Un homme résidant à 6 km au sud de Goris, vétéran de guerre. Il vit à 100m de la démarcation, sans internet et téléphone au fond d'une vallée avec sa femme et sa fille. Il y a 30 ans, il est tombé amoureux du lieu et a construit sa maison. Dans ses décennies de transhumance, il a rassemblé une centaine d'artefacts culturels et historique de grande valeur et a aménagé un petit lac et des jardins. Il est l'auteur d'ouvrages philosophiques et refuse de quitter son terrain.

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Grigori : Chef urgentiste de l'hopital de Stepanakert. Il a vu l'enfer de la guerre au plus près. La résistance dont ont fait part lui et son équipe sont remarquables durant 44 jours d'insomnie. Ils ont assisté à des miracles et ont vécu la détermination de ceux ayant pris les armes.

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EN SYRIE

 

 

Monseigneur Jeanbart : ancien évêque grec melkite d’Alep

Simon Al Wakil : chef de la défense nationale à Mhardeh, il était entrepreneur avant la guerre et a pris les armes pour défendre son village chrétien contre les terroristes. Il est passé à de nombreuses reprises à deux doigts de mourir sur le champ de bataille.

Salem Al Barni : Jeune brillant, l’académie militaire d’Alep où il faisait son service militaire a été attaqué pendant la guerre, il s’est fait enlever par « l’armée syrienne libre » pendant environ 1 mois et demi. Il a été témoin de nombreuses exactions avant d’être libérer et de s’engager dans la défense nationale de la ville de Mhardeh.

Suleiman Khalil : ancien maire du village de Sadad, il a vendu sa maison à Damas pour monter une milice de défense local lorsque son village a été attaqué par les terroristes. D’abord pris par Al Nosra pendant une dizaine de jour, le village de Sadad a ensuite été attaqué par l’État Islamique qui a été repoussé. Il a également aidé de nombreux chrétiens à s’échapper de la ville de Qaryatain qui était sous le contrôle de l’État Islamique.

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AU LIBAN

 

Mère Agnès Mariam a un père palestinien et une mère libanaise. Pendant son adolescence, recherchant la vérité et Dieu, elle a rejoint le mouvement hippie, voyageant à travers le monde. C'est là qu'elle a perçu l'appel de Dieu et lui a répondu radicalement : à 19 ans, elle entre au Carmel de Harissa, Liban, où elle vivra jusqu'à un nouvel appel de Dieu, en 1992.

 « Mon intention était de fonder un monastère au Nord du Liban, dans la Vallée Sainte, mais la Providence m’a guidée vers les ruines d’un monastère fortifié de sixième siècle dans le désert syrien. J'ai été fortement touchée par le lieu et j’ai demandé la bénédiction de l’Evêque local pour le restaurer. Il a accepté avec grande joie. En 1994 j’ai commencé les travaux de restauration, aujourd’hui nous sommes une petite Communauté florissante avec des membres de 8 nationalités différentes. » 

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Robert Sacy : médecin directeur du département néonatalogie de l’hôpital de la Quarantaine à Beyrouth. Très engagé dans son travail mais aussi dans le monde humanitaire en général. Son hôpital a subi beaucoup de dégâts après l’explosion.

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Père Youssef Matta : père supérieur du monastère Notre Dame de Mayfouq. Diplômé en architecture chrétienne, de fortes connaissances sur l’histoire des chrétiens d’orient, directeur également d’une école.

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Maya Habib Hafez : directrice de l’association Al Tawarek (= Urgence) qui opère à Tripoli pour aider les chrétiens. A ouvert un supermarché solidaire au milieu du quartier de Mina.

 

Père Antoine Assaf : curé de la paroisse saint-Elie à Beyrouth.

 

Docteur Hampig : travaille à l’hôtel Dieu. A été très engagé au moment de l’explosion pour venir en aide aux victimes.

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EN PAKISTAN

 

Père Parvez : prêtre catholique pakistanais, il combat contre l’esclavage des chrétiens au Pakistan. 

FICHE PAYS

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EN ETHIOPIE

Père François : de la communauté des frères de Saint Jean à Addis Abeba, français.
Mgr Lesanuchristos : évêque éthiopien catholique de Bahir Dar.
Père Tamru : Prêtre éthiopien catholique de Gondar. Gondar fait partie de l'évêché éthiopien catho

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EN JORDANIE

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