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HÉLIE DE SAINT MARC, TÉMOIN DU SÈCLE

Avec la participation exceptionelle de Jean Piat

Il ne s’agit pas d’un film de guerre, même si la guerre, les guerres, sont omniprésentes à l’écran. Le cheminement de ce film est celui du retour sur soi d’un homme confronté à la brutalité des temps mais aussi à la “comédie humaine” et aux “escroqueries de l’Histoire” qui l’accompagnent. Une leçon de sagesse et de courage dans un style que n’aurait pas désavoué le Saint-Exupéry de Terre des hommes et de Citadelle.

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« J’approche du mystère et je me sens plus démuni qu’un enfant.  À mon âge, c’est peut-être la seule grâce qui reste, cette flamme fragile, si bouleversante, que je veux confier à mes lecteurs

 

« Repiquer chaque matin le riz de nos souvenirs, pour que d’autres en extraient quelques grammes d’humanité, pour les repiquer ailleurs. »

 

Il était la sentinelle, le veilleur d’une très longue Histoire, le témoin dont parle Pascal quand il dit: « Je ne crois qu’aux témoins qui se font égorger. ». « Les témoins, rappelait Saint-Marc, sont le sel d’un pays. De près, ils brûlent la peau car personne n’a envie de les entendre.»

 

Mais surtout, il était une conscience. Ses paroles viennent d’une profonde réflexion, d’une attitude face à la vie restée verticale, même dans les heures les plus noires. Cette réflexion – de l’homme, du soldat - dépasse les instruments de la  philosophie.

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